Si vous ou votre enfant rencontrez des difficultés dans la motricité, la gestion des émotions, les apprentissages ou les relations sociales, faire appel à une psychomotricienne à Toulouse peut être utile.
La prise en charge est recommandée :
Toute prise en charge psychomotrice doit obligatoirement être précédée d’une prescription médicale, qui permet de réaliser un bilan psychomoteur.
En fonction de vos besoins, je vous propose différents types de prise en charge :
Bilans psychomoteurs complets
Évaluation des capacités et difficultés, définition d’un projet thérapeutique personnalisé.
Séances individuelles personnalisées
Un suivi centré sur vos besoins (motricité, émotions, attention, confiance, communication…).
Groupes d’habiletés sociales
Pour enfants et adolescents avec TSA, TDAH ou difficultés relationnelles.
Prévention et accompagnement spécifiques
Maintien des capacités psychomotrices, rééducation post-accident, prévention des chutes.
Chaque accompagnement s’organise en plusieurs étapes complémentaires :
Sur prescription médicale, je réalise une évaluation complète à l’aide de tests standardisés, d’observations et d’échanges avec la personne et sa famille. Ce bilan permet de mettre en lumière les ressources et les difficultés, et d’élaborer un projet thérapeutique personnalisé.
Déroulé d’un bilan :
Individuelles ou en petit groupe, elles s’appuient sur des médiations adaptées : jeux, activités motrices, stimulations sensorielles, relaxation, expression corporelle.
La relation thérapeutique occupe une place centrale : elle offre un cadre sécurisant et bienveillant pour progresser pas à pas.
Des points réguliers sont réalisés avec la personne et/ou la famille pour ajuster l’accompagnement.
Un travail en lien avec d’autres professionnels toulousains (enseignants, orthophonistes, ergothérapeutes, psychologues, etc.) peut être mis en place pour compléter le suivi.
Le suivi en psychomotricité s’intègre souvent dans un accompagnement pluridisciplinaire. Je collabore régulièrement avec :
Mon objectif ? Que chaque personne puisse trouver un soutien adapté, un espace d’épanouissement et une aide concrète pour avancer sereinement dans son quotidien.
Oui, toute prise en charge en psychomotricité nécessite une prescription médicale. Elle peut être délivrée par votre médecin traitant, pédiatre, pédopsychiatre, etc.
Les séances de psychomotricité ne sont pas remboursées par la Sécurité sociale, je ne prends donc pas la carte vitale. Certaines mutuelles prennent en charge partiellement le coût des bilans et séances. Je vous recommande de vérifier directement votre contrat pour connaître les modalités exactes de remboursement.
Malheureusement, je ne suis pas affiliée à Occitadys, le dispositif prenant fin à la fin de l’année 2025.
Non, chaque profession a ses objectifs et méthodes spécifiques. Le bilan psychomoteur se concentre sur le lien entre le corps, les mouvements, les émotions et les compétences relationnelles ou cognitives. Même si un neuropsychologue, psychologue ou autre professionnel paramédical a déjà réalisé une évaluation, elle ne remplace pas le bilan psychomoteur, car ces bilans portent sur des aspects différents.
NB : si le bilan a été réalisé par un autre psychomotricien, il reste bien sûr valable et peut être utilisé comme base pour le suivi.
La durée et la fréquence des suivis varient selon les besoins et les objectifs. Certaines prises en charge se font sur quelques semaines, d’autres sur plusieurs mois voire années. La fréquence est adaptée au rythme de la personne et le projet thérapeutique est réévalué régulièrement.
Le psychomotricien travaille sur le lien entre le corps et le mouvement, pour favoriser l’équilibre global et le développement moteur et relationnel.
Le psychologue, lui, agit principalement sur le plan mental et émotionnel, en accompagnant la personne à comprendre et gérer ses pensées.
Le psychomotricien travaille sur la relation entre le corps, le mouvement et les émotions, pour favoriser l’équilibre global, le développement moteur et les compétences relationnelles.
L’ergothérapeute, quant à lui, se concentre sur l’autonomie dans la vie quotidienne : il adapte l’environnement, propose des aides techniques et des activités fonctionnelles pour faciliter le quotidien. Les deux métiers se complètent mais n’ont pas les mêmes objectifs ni les mêmes méthodes.
Non, j’accompagne également les adolescents, les adultes et les personnes âgées, notamment dans le cadre de troubles moteurs, émotionnels ou de situations de perte d’autonomie.